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Knowledge, Sociology of --- History --- Knowledge, Sociology of - History
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Sociology of knowledge --- Knowledge, Sociology of --- History --- History. --- Knowledge, Sociology of - History
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Knowledge, Sociology of --- History --- Machiavelli, Niccolò, --- History. --- Knowledge, Sociology of - History --- Machiavel, Nicolas --- Machiavelli, Niccolò, - 1469-1527 --- Sociologie de la connaissance --- Histoire. --- Machiavel, --- Sociologie.
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Une réflexion sur le concept de modernité dont le sens n'a cessé d'évoluer depuis l'Antiquité. Au côté des dictatures dans les années 1930, théorisée comme une résurgence gnostique après la Seconde Guerre mondiale par Eric Vosgelin, elle est aussi assimilée aux innovations techniques, aux inquiétudes écologistes ou à la religion au XXIe siècle. ©Electre 2017
Modernité --- Gnose --- Civilization, Modern --- Gnosticism --- Knowledge, Sociology of --- Philosophy --- Religious aspects --- History --- Civilisation moderne et contemporaine --- Gnosticisme --- Sociologie de la connaissance --- Philosophie --- Aspect religieux --- Histoire --- Modernité --- Civilization, Modern - Philosophy --- Civilization, Modern - Religious aspects --- Gnosticism - History --- Knowledge, Sociology of - History
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L’impression que la déraison domine désormais les hommes accable chacun d’entre nous. Que la rationalisation qui caractérise les sociétés industrielles conduise à la régression de la raison (comme bêtise ou comme folie), ce n’est pas une question nouvelle : Theodor Adorno et Max Horkheimer nous en avertissaient déjà en 1944 – au moment où Karl Polanyi publiait La Grande Transformation. Cette question a cependant été abandonnée, tandis qu’au tournant des années 1980, la rationalisation de toute activité, rapportée au seul critère de la « performance », était systématiquement et aveuglément orchestrée par la « révolution conservatrice » – imposant le règne de la bêtise et de l’incurie. Tout en mettant en évidence les limites de la philosophie qui inspirait l’École de Francfort, le post-structuralisme laisse aujourd’hui ses héritiers désarmés devant ce qui s’impose comme une guerre économique planétaire et extrêmement ravageuse. Naomi Klein a soutenu que la théorie et la pratique ultralibérales inspirées de Milton Friedman reposaient sur une « stratégie du choc ». L’« état de choc » permanent règne cependant depuis le début de la révolution industrielle – et plus encore depuis le temps où s’applique ce que Joseph Schumpeter décrivit comme une « destruction créatrice », caractéristique du modèle consumériste. À partir des années 1980, sous l’impulsion de Ronald Reagan et Margaret Thatcher, l’état de choc technologique a été suscité par un marketing planétaire ne rencontrant plus aucune limite, imposant la prolétarisation généralisée, et détruisant l’économie libidinale : ainsi s’est installé le capitalisme pulsionnel où la destruction créatrice est devenue une destruction du monde. L’état de choc est ce que le post-structuralisme n’aura pas pensé, principalement en raison de deux malentendus : 1. quant au sens de la prolétarisation (que Marx pense avant tout comme une perte de savoir induite par un choc machinique), 2. quant à la nature de l’économie libidinale (au sein de laquelle Freud, à partir de 1920, distingue la libido de la pulsion).
Economic order --- Political philosophy. Social philosophy --- Philosophie --- Structuralisme --- Poststructuralism --- Education and globalization --- Knowledge, Sociology of --- History --- Globalization and education --- Globalization --- Post-structuralism --- Philosophy, Modern --- Structuralism --- Knowledge, Theory of (Sociology) --- Sociology of knowledge --- Communication --- Knowledge, Theory of --- Public opinion --- Sociology --- Social epistemology --- Post-structuralisme --- Irrationalisme --- Éducation et mondialisation --- Savoir et érudition --- Universités --- Individu et société --- Influence. --- Philosophie. --- Knowledge, Sociology of - History - 21st century
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Volume 1. Histoire comparée des pratiques intellectuelles, de tablettes mésopotamiennes à l’internet, l’entreprise des Lieux de savoir porte un regard neuf sur les sociétés humaines. Comment naissent, se pratiquent et se transmettent les savoirs ?Quels sont les gestes et les instruments du travail savant ? Quelle est la géographie dessinée par les parcours et les étapes des maîtres et des étudiants, des pèlerins et des explorateurs, des livres et des objets ? Projet international de grande ampleur, tant par sa richesse que par son ambition, les Lieux de savoir offrent un panorama sans équivalent des milles manières dont, à travers les âges et les cultures, les hommes ont produit, validé, sauvegardé et transmis des savoirs, par-delà les grands partages entre sociétés lettrées et sociétés sans écriture, entre Orient et Occident, sciences et humanités. Des monastères bouddhistes à l’atlas du génome humain, de la route de la soie au sol de la planète Mars, des villages africains aux écrans d’ordinateurs, ce « livre-laboratoire », premier volume d’une série de quatre, ouvre la voie d’une nouvelle anthropologie de la connaissance. Volume 2. Les savoirs ne naissent pas dans l’univers éthéré et intemporel des idées. Comme tant d’autres activités humaines, ils sont le produit de savoir-faire où les gestes de la main accompagnent les opérations de l’esprit, où les mouvements de la pensée prennent forme et matérialité grâce au maniement des objets, des instruments et des signes. Entre histoire et anthropologie, dans une perspective comparatiste et interdisciplinaire, le deuxième volume des Lieux de savoir décline la gamme des pratiques savantes. Observer, prélever, fabriquer, classer, comprendre, hiérarchiser, mémoriser, calculer, interpréter, lire et écrire, schématiser, travailler sur un ordinateur, déchiffrer des signes : ces multiples opérations sont décrites et analysées dans des projets de connaissance particuliers. Au lecteur de dérouler les fils qui le conduiront des arts antiques de la mémoire aux ordinateurs de demain, de Babylone à Tokyo, de la Lune à l’Afrique noire, de l’art du bonsaï à la recherche des intelligences extraterrestres, de Platon à Michel Foucault.
Knowledge, Sociology of --- Histoire des sciences et des techniques --- --Savoirs --- --History --- 001.209 --- Knowledge Scholarship and learning History --- History --- Learning and scholarship --- Sociologie de la connaissance --- History. --- Histoire --- Cognition et culture. --- Anthropologie de l'éducation. --- Sociologie de la connaissance. --- Savoir et érudition --- Gestes --- Anthropologie. --- Science --- Sociology of culture --- Ethnology. Cultural anthropology --- Knowledge, Sociology of - History --- Savoirs --- Anthropologie de l'éducation. --- Savoir et érudition
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Die Beiträge in diesem Band versuchen aus unterschiedlichen kulturwissenschaftlichen Perspektiven heraus die soziale Figur des Experten in der Vormoderne zu verorten. Ausgangspunkt bildet die Annahme, dass Experten im erhöhten Maße die soziale Verteilung und Hierarchisierung von Wissen repräsentieren und durchsetzen. Sie treten als Träger besonderen Wissens auf, an die sich Akteure in bestimmten Problemsituationen wenden können. Experten versprechen, maßgeschneidertes Wissen zur Problemlösung bereitzustellen oder zu vermitteln. Dies erleichtert einerseits die Wirklichkeitsbewältigung, da man weiß, dass man nicht alles wissen muss und es eben Experten gibt, an die man sich in prekären Situationen wenden kann. Doch so sehr Akteure den Experten vertrauen, wächst andererseits auch das Empfinden, die eigene Handlungsautonomie aufzugeben und fremdbestimmt zu werden. Experten sind deswegen die geborenen Sündenböcke: Man verlangt von ihnen, die Welt einfach zu machen und weist ihnen dafür einflussreiche soziale Sonderrollen zu. Doch wenn sich die Wirklichkeit dann doch nicht so einfach gestalten lässt oder wenn sie durch das Wirken der Experten sogar noch komplizierter wird, werden sie zu Zielscheiben der Kritik. Diese Kritik kann dabei kulturell äußerst produktiv sein. So kann man in der Expertenkritik einen Reflexionsmodus erkennen, in dem sich über Wissensordnungen, Machtverteilungen oder bestimmte Institutionen auseinandergesetzt wird und zugleich neue Rollentypen und Institutionen entwickelt werden. Der Band zeigt die unterschiedlichen Momente dieser sozialen Dynamik. Er trägt damit neue Sichtweisen in die Erforschung von Expertenkulturen hinein, die bislang von feuilletonistischen Debatten dominiert wird. Ziel des vorliegenden Bandes ist es, vor allem die zeitlich verengte Perspektive aufzubrechen, die den Experten unter Beschränkung auf das 20. und 21. Jahrhundert zu verstehen versucht. Die aus unterschiedlichen Disziplinen stammenden Beiträge zeigen, dass spätestens seit dem 12. Jahrhundert im lateinischen Europa das ambivalente Verhältnis von Expertenvertrauen und Expertenkritik wirkmächtig ist.
History of Europe --- anno 1200-1799 --- Knowledge, Sociology of --- Specialists --- Infomediaries --- Information behavior --- Information resources --- History --- Influence --- History and criticism --- Wetenschapsbeoefening. --- Wetenschapsbeoefenaars. --- Europa (geografie) --- Europa (geografie). --- Information sources --- Resources, Information --- Sources of information --- Information science --- Information-seeking behavior --- Human behavior --- Infomediary business --- Information intermediaries --- Consumers --- Online information services industry --- Authorities (Persons) --- Experts --- Persons --- Intellectuals --- Knowledge, Theory of (Sociology) --- Sociology of knowledge --- Communication --- Knowledge, Theory of --- Public opinion --- Sociology --- Social epistemology --- Information services --- Knowledge, Sociology of - History - To 1500 --- Specialists - Europe - Influence - History - To 1500 --- Specialists - Europe - History and criticism - To 1500 --- Infomediaries - Europe - Influence - History - To 1500 --- Information behavior - Europe - History - To 1500 --- Information resources - Europe - History - To 1500
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Quelle est la signification des frontières entre les disciplines scientifiques ? Quelle est l’utilité de leur classification au sein d’un système unifié ? Les intérêts disciplinaires divergents s’affrontent dans un débat politique, ici examiné. L’enjeu varie, selon que l’on veut décrire l’identité sociale, l’identité professionnelle ou l’identité épistémologique des savoirs spécialisés, qui sont enseignés aujourd’hui dans les universités ou catalogués dans les institutions de recherche. Le tableau d’un « système » des disciplines, qui composait harmonieusement aux XIXe et XXe siècles la diversité des pratiques avec l’unité épistémologique de la rationalité scientifique, a été bouleversé dans toutes ses dimensions par les développements internes de l’histoire des sciences comme par la multiplication de leurs fonctions symboliques et économiques. Le débat politique où s’affrontent aujourd’hui des intérêts disciplinaires divergents gagne à être éclairé par un examen, à la fois épistémologique et sociologique, des liens entre « paradigmes », institutions et innovations scientifiques, méthodes de recherche et structures d’objets.
Knowledge, Sociology of --- Knowledge, Theory of --- Science --- Sociologie de la connaissance --- Théorie de la connaissance --- Sciences --- History. --- Methodology. --- Philosophy --- Histoire --- Méthodologie --- Philosophie --- Interdisciplinary approach to knowledge --- History --- Methodology --- Épistémologie --- Classification of sciences --- Théorie de la connaissance --- Méthodologie --- Sociologie de la connaissance. --- Épistémologie. --- Connaissance, Théorie de la. --- Disziplin --- Interdisciplinary approach to knowledge. --- Knowledge, Sociology of. --- Philosophie. --- Science and the humanities --- Epistemology --- Theory of knowledge --- Psychology --- Knowledge, Theory of (Sociology) --- Sociology of knowledge --- Communication --- Public opinion --- Sociology --- Social epistemology --- #SBIB:316.23h2 --- #SBIB:316.23H2 --- Sociologie van de wetenschappen --- Épistémologie. --- Connaissance, Théorie de la. --- Knowledge, Sociology of - History --- Knowledge, Theory of - Methodology --- Science - Philosophy --- discipline universitaire --- épistémologie --- discipline scientifique --- savoir
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"The book is divided into 3 parts. The first argues that activities which appear to be timeless - gathering knowledge, analysing, disseminating and employing it - are in fact time-bound and take different forms in different periods and places. The second part tries to counter the tendency to write a triumphalist history of the 'growth' of knowledge by discussing losses of knowledge and the price of specialization. The third part offers geographical, sociological and chronological overviews, contrasting the experience of centres and peripheries and arguing that each of the main trends of the period - professionalization, secularization, nationalization, democratization, etc, coexisted and interacted with its opposite."-- Editeur.
History of civilization --- World history --- anno 1500-1799 --- anno 1400-1499 --- Knowledge, Sociology of --- History. --- 025.4 <09> --- 316.7 <4> --- 930.85 --- 930.85 Cultuurgeschiedenis. Kultuurgeschiedenis --- Cultuurgeschiedenis. Kultuurgeschiedenis --- 316.7 <4> Cultuursociologie --(algemeen)--Europa --- Cultuursociologie --(algemeen)--Europa --- 025.4 <09> Ontsluitings- en terugzoektalen. Classificaties. Thesauri. Metadata voor information retrieval--Geschiedenis van ... --- Ontsluitings- en terugzoektalen. Classificaties. Thesauri. Metadata voor information retrieval--Geschiedenis van ... --- Knowledge, Theory of (Sociology) --- Sociology of knowledge --- Communication --- Knowledge, Theory of --- Public opinion --- Sociology --- Social epistemology --- History --- Ontsluitings- en terugzoektalen. Classificaties. Thesauri. Metadata voor information retrieval--Geschiedenis van .. --- #A0507HI --- anno 1900-1999 --- anno 1700-1799 --- anno 1800-1899 --- Théorie de la connaissance --- Histoire --- Knowledge [Sociology of ] --- 378.4 --- 378.4 Universiteiten --- Universiteiten --- Knowledge, Sociology of - History --- Ontsluitings- en terugzoektalen. Classificaties. Thesauri. Metadata voor information retrieval--Geschiedenis van --- CONNAISSANCE, SOCIOLOGIE DE LA --- SAVOIR ET ERUDITION --- VIE INTELLECTUELLE --- HISTOIRE --- JUSQU'AU 20E SIECLE --- Sociologie de la connaissance --- Vie intellectuelle
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The transmission of knowledge in clerical and academic settings of the later Middle Ages has been relatively well studied by traditional scholarship. But successes achieved in other subject-areas by the application of a set of methodologies grouped under the rubric of ‘gender studies’ may offer insights into medieval education. This approach invites a re-examination in gender-political terms of the definition of knowledge by clerical elites and the concomitant rejection from the category of ‘knowledge’ of many varieties of knowledge which did not coincide with their template. The ten articles of this volume focus both on the perennial valorization of the content and methods of clerical/academic education, on the limitation of venues for its transmission to sites from which women were categorically excluded, and, in terms of media for the transmission of knowledge, on the attendant restriction of the techniques and media considered valid for the storage, retrieval, and communication of knowledge to those that were current in these privileged sites.The volume addresses the following issues: what varieties of knowledge were available to communities of women? What kinds of knowledge originated in or became characteristic of women’s communities? What techniques did women develop to preserve and transmit their knowledge? In what ways and with what success was women’s knowledge valorized, both by authors from within these communities and by ‘authoritative’ figures from outside? Under what circumstances could women become authoritative originators of and transmitters of knowledge?
248.2 --- 248-055.2 --- 028-055.2 --- 248.2 Mystieke theologie. Mystiek. Mysticisme --- Mystieke theologie. Mystiek. Mysticisme --- 028-055.2 Vrouwelijke lezers --- Vrouwelijke lezers --- 248-055.2 Vrouwen en spiritualiteit --- Vrouwen en spiritualiteit --- History of Europe --- anno 1200-1499 --- anno 1500-1599 --- Knowledge, Sociology of --- Mysticism --- Scholars, Medieval --- Scholars, Medieval. --- Women intellectuals --- Women mystics --- Women scholars --- History --- History. --- Femmes --- Geschiedenis van de Middeleeuwen --- Geschiedenis van het onderwijs --- Histoire de l'enseignement --- Histoire du Moyen Age --- Vrouwen --- Women --- Intellectuelles --- Savantes --- Mysticisme --- Sociologie de la connaissance --- Education --- Histoire --- anno 500-1499 --- Scholars --- Women in education --- Women specialists --- Mystics --- Intellectuals --- Medieval scholars --- Europe --- To 1500 --- Middle Ages, 600-1500 --- Knowledge [Sociology of ] --- Middle Ages, 500-1500 --- Women intellectuals - Europe - History - To 1500 --- Women scholars - Europe - History - To 1500 --- Women mystics - Europe - History - To 1500 --- Mysticism - History - Middle Ages, 600-1500 --- Knowledge, Sociology of - History - To 1500 --- Scholars, Medieval - History - To 1500 --- Gender --- Religion --- Religious communities --- Writers --- Spirituality --- Book --- Epistemology
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